
Algérie - Abdelkader Bengrina, président du mouvement El Bina a appelé l’institution judiciaire à persévérer dans la lutte contre la corruption politique…
Pour lui, l’éradication de la corruption politique est un impératif si on veut préserver les acquis futurs. Il estime, dans ses propos rapportés par le site Ennahar Online, ce vendredi 20 décembre, que la récupération de la République exige de profondes réformes au niveau de la constitution. Et ce, dit-il, afin de préserver l’équilibre des différentes institutions et de redonner au Parlement son droit de regard et de contrôle.
Dans son intervention le président d’El Bina insiste sur l’ouverture d’enquêtes sur les responsables et acteurs ayant rassemblé 6 millions de signatures au profit de l’ex-président Abdelaziz Bouteflika.
L ouverture d information contre boutef entrainera automatiquement l implication de plusieurs dizaines de hautes personnalites constituant la issaba..la justice n a pas encore les mains libres et aucune loi portant liberte des actions judiciaires n a ete votee..s il faudra juger boutef..il est malade et inapte a comparaitre..il faudra juger tous les membres de la issaba..et c est pas pour demain…
un jour, le défunt Président Houari Boumédienne a dit » taisez vous si non nous allons dire qui sommes nous « . alors ya si bengrina, taisez vous si non nous allons dire toutes les vérités, et ce sera mauvais pour vous. il est temps de passer à l’essentiel, n’entachez pas le nouveau paysage politique de l’algérie nouvelle. les héros de l’algérie sont tous morts. ils sont devenus des « MARTYRS ».